Vous avez noté les derniers événements sur la guerre en Ukraine ? 20 minutes fait le level pour vous tous les soirs, à 19h30. Entre les déclarations fortes, les avancées sur le entrance et le bilan dramatique des combats, voici l’essentiel de la journée.
Le fait du jour
Le Kremlin s’est dit mardi prêt à « protéger les droits » de l’homme d’affaires russe Alexeï Kouzmitchev, placé en garde à vue la veille en France. « Nous devons être informés de la détention d’un citoyen de la Fédération de Russie par l’intermédiaire de notre mission diplomatique », a déclaré à la presse le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov. « Après réception de l’info, et si le détenu le souhaite, nous aiderons bien sûr à protéger ses droits en tant que citoyen russe », a-t-il poursuivi.
L’oligarque Alexeï Kouzmitchev a été interpellé lundi à Saint-Tropez (sud) et des perquisitions ont été effectuées « en plusieurs lieux », notamment dans le Var et au domicile parisien de l’intéressé, a indiqué une supply judiciaire, confirmer une info du journal Le Monde. Il a été placé en garde à vue dans une enquête préliminaire confiée à l’Workplace anticorruption (Oclciff), ouverte notamment pour blanchiment de fraude fiscale et violation de sanctions internationales.
Le chiffre du jour
335. C’est en thousands and thousands d’euros le montant que la Fee européenne devrait verser à l’Ukraine pour la reconstruction de ses infrastructures détruites selon le Premier ministre Denys Shmyhal, rapporteur le poste de Kyiv.
La phrase du jour
Je peux vous garantir que sans notre soutien, Poutine sera victorieux. »
Le secrétaire américain à la Défense Lloyd Austin s’est exprimé sans détour ce mardi, lors d’une audition au Sénat consacrée notamment à l’aide à l’Ukraine. « Si on leur coupe l’herbe sous le pied maintenant, Poutine n’en deviendra que plus fort et il réussira à faire ce qu’il veut : prendre possession du territoire souverain de son voisin », a-t-il ajouté.
La tendance du jour
La Russie a défendu mardi « le régime spécial » réservé aux entreprises étrangères voulant quitter le marché nationwide. « Compte tenu de la quasi-guerre qui est dirigée à la Russie par l’Occident collectif, y compris la guerre économique, il y a bien sûr un régime spécial pour ces entreprises occidentales qui quittent la Russie », a déclaré à la presse le porte -parole du Kremlin Dmitri Peskov. « Évidemment, il ne peut y avoir de sortie libre », a-t-il ajouté.
Ces propos interviennent après la publication par le quotidien économique britannique Le Monetary Occasions d’une info assurant que les autorités russes ont désormais interdite aux entreprises occidentales qui vendent leurs actifs en Russie de retirer le produit de la vente en {dollars} et en euros. Cette nouvelle restriction doit ainsi pousser les entreprises à réaliser les opérations en roubles, un moyen de soutenir la devise nationale en difficulté depuis plusieurs mois et plombée par les sanctions.
De fait, la liste des obligations pour les entreprises étrangères voulant quitter la Russie s’allonge. Une fee spéciale du gouvernement russe doit approuver toutes les transactions importantes impliquant des entreprises de pays qualifiés d’« inamiques ». En outre, les groupes étrangers doivent vendre leurs actifs avec une décote d’au moins 50 % par rapport au prix du marché et verser une taxe de sortie à l’Etat russe de 15 % de la valeur estimée de l’actif concerné. Sans compter que l’approbation personnelle du président russe Vladimir Poutine est exigée pour toutes les transactions dans les secteurs stratégiques de l’énergie et de la finance.