La police de la ville française de Nantes a arrêté un homme en relation avec l’attentat terroriste de Bruxelles en début de semaine, qui a vu deux Suédois abattus par l’immigré clandestin tunisien et islamiste radical Abdesalem Lassoued, qui a été abattu quelques heures plus tard par la police de Bruxelles.
L’arrestation de l’homme, qui n’a pas encore été identifié par la police, a eu lieu jeudi après que les enquêteurs ont découvert que Lassoued lui avait envoyé des messages et une vidéo en ligne peu avant de tuer ses deux victimes suédoises, a rapporté la chaîne BFMTV. rapports.
journal français Le Parisienquant à lui, a revendiqué que la vidéo envoyée par Lassoued a également été envoyée à trois autres individus, alors que le journal Ouest France a déclaré que le suspect était également un ressortissant tunisien.
Le procureur fédéral belge Frédéric Van Leeuw a affirmé après l’attaque que Lassoued avait commis seul son bloodbath et que les autorités ne le soupçonnaient pas de faire partie d’un réseau plus massive de terroristes islamistes radicaux.
Les autorités belges ont également déclaré que Lassoued ne figurait pas sur une liste de surveillance antiterroriste en Belgique, malgré des rapports indiquant que dès 2016, Lassoued avait été sur le radar des autorités de sa Tunisie natale pour radicalisme.
Même si Lassoued a peut-être agi comme un soi-disant « loup solitaire », de nombreuses questions demeurent concernant l’attaque, notamment sur la manière dont il a eu accès au fusil qu’il a utilisé pour abattre ses victimes. Les attaques terroristes islamistes impliquant des armes à feu impliquent généralement des réseaux ou le soutien de groupes terroristes plus importants. L’État islamique, qui s’est attribué le mérite du Charlie Hebdo bloodbath du journal en janvier 2015 et bloodbath de la discothèque du Bataclan plus tard la même année en novembre, qui impliquaient tous deux des fusils automatiquesa aussi revendiqué être à l’origine de l’attentat de Bruxelles.
Bien que Lassoued ait affirmé devant la caméra faire partie du groupe terroriste État islamique, les enquêteurs belges ont été réticents à affirmer que le groupe avait joué un rôle dans la planification ou la logistique de l’attaque elle-même.
Le gouvernement belge a été vivement critiqué pour son manque d’motion à l’égard de Lassoued avant son attaque, certains se demandant remark les autorités ignoraient les antécédents criminels de Lassoued en Suède, son radicalisme enregistré en Tunisie ou ses multiples tentatives infructueuses de demande d’asile dans les pays européens. .
Le Premier ministre belge Alexander De Croo a blâmé le manque de communication et de transparence entre les pays en déclarant : « Nous n’avions pas cette info importante et cela aurait pu permettre à nos providers de sécurité de faire une évaluation différente. Lorsque des personnes potentiellement dangereuses voyagent, nos providers doivent en être informés. »