Partie longuement en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française pour inspecter un web site des JO, la maire de Paris ne s’y est finalement pas rendue. Son adjoint aux sports activities Pierre Rabadan, qui participait au voyage, se justifie dans «Le Parisien».
La mairie tente de désamorcer la state of affairs. Depuis dix jours, la maire de Paris Anne Hidalgo est au cœur des critiques et des questionnements. En trigger, un lengthy voyage en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française, alors que la capitale faisait face à une menace élevée d’attentat liée au conflit entre Israël et le Hamas. «(Ce voyage) était prévu avant que la state of affairs se dégrade», justifie auprès du Parisien son adjoint aux sports activities, l’ancien rugbyman professionnel Pierre Rabadan. «L’actualité a créé des crispations autour de ce déplacement qui nécessite des clarifications. Mais ce voyage dans ces territoires français était légitime», a-t-il souligné.
Au programme, des rencontres avec des élus locaux, la visite d’un centre culturel, mais surtout l’inspection d’un web site qui doit accueillir les épreuves de surf aux JO. Problème : Anne Hidalgo ne s’est finalement pas rendue sur le spot. «Le président de la Polynésie française, Moetai Brotherson, a dit à la maire que ce n’était pas une bonne idée qu’elle se rend sur place vu que la contestation locale s’intensifiait autour de la development d’une nouvelle tour des juges.», explique Pierre Rabadan.
Pas d’inspection pour aller rejoindre sa fille
L’ancien taulier du Stade français indique au Parisien que la visite a donc été rapportée le lendemain, mais que la maire n’a pas pu y participer automotive elle «est partie ce jour-là très tôt le matin rejoindre sa fille qui vit sur l’île de Raiatea». Pourtant, la mairie de Paris avait assuré vendredi 3 novembre à nos confrères qu’Anne Hidalgo avait renoncé à cette visite d’un commun accord avec les autorités locales «pour ne pas ravir les tensions». L’édile à en fait «décidé de profiter de ce voyage lointain pour aller rendre visite à sa famille dans le cadre de vacances privées», révèle Pierre Rabadan.
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Pourquoi l’avoir caché ? «Elle voulait protéger sa famille», précise l’éphémère worldwide français (deux sélections). Et pourquoi ne pas avoir repoussé de quelques heures son voyage privé pour visiter le spot ? «Elle aurait pu, mais il fallait qu’elle change son billet», glisse l’ancien rugbyman.
Interrogé sur le coût du voyage, que la mairie refuse de communiquer, Pierre Rabadan guarantee que la délégation «un voyage en classe économique», sauf lui-même qui a été «surclassé (…) du fait de (sa) grande taille». «On a logé dans des hôtels confortables mais pas particulièrement», a-t-il également indiqué, et Anne Hidalgo «a payé son billet de retour». Sur l’absence totale de communication autour de ce voyage, l’ex-joueur du Stade français justifie : «On se voyait mal communiquer (sur le voyage) automotive il aurait pu apparaître comme décalé au regard du contexte worldwide et nationwide dramatique, même si la state of affairs ne justifiait pas pour autant de l’annuler».