“J’aurai l’event de me rendre à Ramallah (en Cisjordanie) en fin de journée”a déclaré Emmanuel Macron au côté du Premier ministre israélien, mardi 24 octobre. Selon les informations de franceinfo, il y rencontrera Mahmoud Abbas, le président de l’Autorité palestinienne. En fin de matinée, jeLe président français s’est entretenu avec Benyamin Nétanyahou, avant de faire une déclaration conjointe. Il a notamment présenté les “condoléances de la France” au peuple israélien et assuré que la France partageait une “horrible épreuve” avec son homologue, alors que les combattants du Hamas détiennent toujours des otages. “Nous sommes des démocraties contre des terroristes”at-il également ajouté. Suivez notre direct.
“Le premier objectif est la libération des otages”. Emmanuel Macron a, plus tôt dans la matinée de mardi, rencontré son homologue israélien Isaac Herzog, à Jérusalem. “Il faut organiser des opérations ciblées face aux terroristes”, at-il déclaré. Dans la matinée, il a rappelé sur X (ex-Twitter) que trente “compatriotes” français “ont été assassinés le 7 octobre” et que “neuf autres sont encore portés disparus ou retenus en otage”.
Une rencontre avec des familles de victimes. A son arrivée, le président avait déjà rencontré une trentaine de Français, dans les salons de l’aéroport Ben-Gourion de Tel-Aviv, avec 18 familles de victimes représentées. Les proches de Mia Shem, cette franco-israélienne retenue en otage et présentée dans une vidéo diffusée le 16 octobre par le Hamas, était notamment présente.
Deux otages libérées par le Hamas. Ces deux femmes, de nationalité israélienne, sont originaires du kibboutz Nir Oz, selon le bureau du Premier ministre israélien qui a donné leur identité : Yocheved Lifschitz, 85 ans, et Nourit Kuper, 79 ans. Leurs époux sont toujours détenus. Environ 220 otages israéliens, étrangers ou binationaux ont été recensés par Israël, emmenés par les hommes du mouvement islamiste palestinien dans la bande de Gaza.
Une aide humanitaire au compte-gouttes. L’aide internationale begin à arriver depuis samedi through l’Egypte. Lundi, un troisième convoi a franchi la frontière à Rafah, le seul level de passage vers Gaza qui ne soit pas sous contrôle israélien. Au complete, une cinquième de camions ont pu entrer en trois jours, alors qu’il en faudrait selon l’ONU au moins 100 par jour.
Des frappes toujours en cours. Depuis le 15 octobre, l’armée israélienne appelle les civils du nord de la bande de Gaza, où les bombardements sont les plus intenses, à fuir vers le Sud. Cependant, les frappes continuent aussi de toucher le Sud, proche de la frontière égyptienne, où les déplacés sont massés par centaines de milliers. La state of affairs humanitaire est “catastrophique”a averti l’ONU, avec au moins 1,4 million de Palestiniens qui ont fui leur lobby.