La state of affairs des nappes phréatiques en France n’a pas évolué significativement en octobre par rapport à septembre, et deux niveaux d’entre elles restent sous les normales de saison, a annoncé, jeudi 16 novembre, le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). ).
Au 1euh novembre, la France comptait 65 % de ses nappes phréatiques, principales réserves d’eau potable, en dessous des normales, dont 18 % à des niveaux très bas, a précisé le BRGM, dans un communiqué.
Cette state of affairs reste proche de celle de septembre, quand 66 % des nappes étaient à des niveaux insuffisants, mais s’avère plus favorable qu’en octobre 2022, quand 75 % d’entre elles se retrouvent sous les moyennes mensuelles, après un été caniculaire .
Un mois de septembre « relativement chaud »
Si les pluies du printemps et de l’été ont permis de maintenir, voire d’améliorer l’état des nappes, les pluies tombées à la mi-octobre ont été en revanche insuffisantes, be aware le BRGM, décrivant une state of affairs « peu satisfaisant ».
« Comme l’année dernière, on a eu un mois de septembre et un début d’octobre relativement chaud, une végétation qui restait lively jusqu’en novembre et donc avec des difficultés pour les pluies de s’infiltrer », a déclaré Violaine Bault, hydrogéologue au BRGM. Le mois de septembre a été le plus chaud jamais mesuré en France. Mais ce bilan ne prend pas en compte les cumuls de pluie enregistrés début novembre.
Avec les pluies d’octobre, « la période de recharge s’amorce », be aware le BRGM. Toutefois, les pluies ont été très disparates en métropole, et leur influence a été moins fort sur les nappes inertielles – celles qui mettent le plus de temps à se recharger – que pour les nappes disent réactives.
Des « niveaux satisfaisants » dans l’Ouest
Ainsi, si « les niveaux sont satisfaisants » dans l’Ouest, en allant des Hauts-de-France jusqu’à la Nouvelle-Aquitaine, la state of affairs est « plus défavorable » dans le sud de l’Alsace. Les niveaux des nappes inertielles du couloir Rhône-Saône restent « préoccupants, de bas à très bas »be aware le BRGM.
Une vigilance s’accumule reste de mise durant l’automne, l’hiver et le début du printemps – période propice à l’infiltration des eaux jusqu’aux nappes grâce à une végétation moins abondante –, plus particulièrement pour les nappes continuant d’afficher des niveaux bas à très bas. « Les pluies de cet automne vont avoir un influence en novembre-décembre, et les niveaux en fin d’hiver, ce sera en fait le cumul de tout ce qui aura lieu pendant l’hiver »prévient Mmoi Bault.